EE et développement durable
Toutes les évaluations environnementales et sociales réalisées au Burundi n’intègrent pas systématiquement une section traitant du développement durable.
Néanmoins, les acteurs burundais sont assez d’accord avec l’idée que les évaluations environnementales sont des exercices de plus en plus intégrés et multidimensionnels. Les EE, pour eux, tendent un tant soit peu à devenir des évaluations de la durabilité, une idée sur laquelle les agents de l’OBPE sont assez d’accord. Ceux-ci estiment en effet que ce concept est nouveau et qu’il est de plus en plus compris et mis de l’avant, surtout dans la sphère des bailleurs.
Comme dans bon nombre de pays, il existe au Burundi une structure interministérielle formelle en matière de mise en œuvre du développement durable : la Commission interministérielle des objectifs de développement durable. Cette commission est toutefois pilotée par le ministère des Finances, du Budget et de la Coopération au développement.
Pour ce qui est des outils de gestion environnementale, il est à noter que les entreprises avec lesquelles le Ministère et, plus précisément, l’OBPE interagissent dans le contexte de l’évaluation environnementale utilisent parfois d’autres outils de même nature en dehors des études d’impact (par exemple, des systèmes de gestion environnementale et sociale).
Au cours des cinq années à l’étude, le Burundi a eu des cas où de grands projets soumis à une EIE ou EIES (par exemple dans les secteurs des grands barrages ou des transports) ont donné lieu, en plus, à une étude sur la contribution au développement durable. À titre d’exemple, des EIES ont été réalisées, à travers le pays, dans le cadre de plusieurs programmes et projets routiers, hydroélectriques, d’aménagement des bassins versants ou des marais et de restauration des paysages.
Néanmoins, les acteurs burundais sont assez d’accord avec l’idée que les évaluations environnementales sont des exercices de plus en plus intégrés et multidimensionnels. Les EE, pour eux, tendent un tant soit peu à devenir des évaluations de la durabilité, une idée sur laquelle les agents de l’OBPE sont assez d’accord. Ceux-ci estiment en effet que ce concept est nouveau et qu’il est de plus en plus compris et mis de l’avant, surtout dans la sphère des bailleurs.
Comme dans bon nombre de pays, il existe au Burundi une structure interministérielle formelle en matière de mise en œuvre du développement durable : la Commission interministérielle des objectifs de développement durable. Cette commission est toutefois pilotée par le ministère des Finances, du Budget et de la Coopération au développement.
Pour ce qui est des outils de gestion environnementale, il est à noter que les entreprises avec lesquelles le Ministère et, plus précisément, l’OBPE interagissent dans le contexte de l’évaluation environnementale utilisent parfois d’autres outils de même nature en dehors des études d’impact (par exemple, des systèmes de gestion environnementale et sociale).
Au cours des cinq années à l’étude, le Burundi a eu des cas où de grands projets soumis à une EIE ou EIES (par exemple dans les secteurs des grands barrages ou des transports) ont donné lieu, en plus, à une étude sur la contribution au développement durable. À titre d’exemple, des EIES ont été réalisées, à travers le pays, dans le cadre de plusieurs programmes et projets routiers, hydroélectriques, d’aménagement des bassins versants ou des marais et de restauration des paysages.
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