Éléments de contenu des EE
Durant la période de 2012 à 2016, la réglementation burundaise a exigé explicitement que les EE réalisées au Burundi traitent des impacts environnementaux et sociaux. Il existe à cet effet un guide de mise en application produit par des bailleurs de fonds ou d’autres intervenants.
Comme pour les impacts sociaux, les EE réalisées au cours de cette période ne traitent pas systématiquement des impacts économiques et des impacts sur la santé humaine.
La définition de la santé humaine inclut la santé physique, la santé communautaire, les services médicaux et les autres services de santé, mais pas la santé mentale. Il existe au Burundi des spécialistes de ces questions, aussi bien dans l’administration que dans les bureaux d’études.
Les EE réalisées sur la période 2012-2016 traitent parfois explicitement des impacts en fonction du genre, bien que ce soit une exigence de la loi et qu’il existe un guide d’application sur cette thématique, élaboré par les bailleurs de fonds ou d’autres intervenants. L’administration et les bureaux d’études disposent cependant d’experts en mesure de prendre en considération les aspects du genre dans la réalisation des EE.
Les EE réalisées sur la période 2012-2016 traitent souvent explicitement des impacts liés aux risques des catastrophes naturelles (inondations, sécheresses, etc.) et anthropiques (liées aux activités humaines: industrie, guerres, etc.). C’est une exigence réglementaire explicite, mais il n’existe pas de guide national d’application. L’administration et les bureaux d’études comptent cependant des spécialistes reconnus de ces questions.
Quant aux impacts liés à l’évolution des risques de catastrophes naturelles pendant la durée de vie du projet ou du programme visé par l’EE, les évaluations réalisées sur la période 2012-2016 ne prennent pas toutes en compte ces problématiques, malgré le fait qu’il existe une exigence réglementaire explicite et un guide d’application international ou élaboré par les bailleurs de fonds. Pourtant, les spécialistes reconnus de ces questions ne manquent pas dans l’administration, contrairement aux bureaux d’études.
Comme pour les impacts sociaux, les EE réalisées au cours de cette période ne traitent pas systématiquement des impacts économiques et des impacts sur la santé humaine.
La définition de la santé humaine inclut la santé physique, la santé communautaire, les services médicaux et les autres services de santé, mais pas la santé mentale. Il existe au Burundi des spécialistes de ces questions, aussi bien dans l’administration que dans les bureaux d’études.
Les EE réalisées sur la période 2012-2016 traitent parfois explicitement des impacts en fonction du genre, bien que ce soit une exigence de la loi et qu’il existe un guide d’application sur cette thématique, élaboré par les bailleurs de fonds ou d’autres intervenants. L’administration et les bureaux d’études disposent cependant d’experts en mesure de prendre en considération les aspects du genre dans la réalisation des EE.
Les EE réalisées sur la période 2012-2016 traitent souvent explicitement des impacts liés aux risques des catastrophes naturelles (inondations, sécheresses, etc.) et anthropiques (liées aux activités humaines: industrie, guerres, etc.). C’est une exigence réglementaire explicite, mais il n’existe pas de guide national d’application. L’administration et les bureaux d’études comptent cependant des spécialistes reconnus de ces questions.
Quant aux impacts liés à l’évolution des risques de catastrophes naturelles pendant la durée de vie du projet ou du programme visé par l’EE, les évaluations réalisées sur la période 2012-2016 ne prennent pas toutes en compte ces problématiques, malgré le fait qu’il existe une exigence réglementaire explicite et un guide d’application international ou élaboré par les bailleurs de fonds. Pourtant, les spécialistes reconnus de ces questions ne manquent pas dans l’administration, contrairement aux bureaux d’études.

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