Autres dimensions du GGEI
Dans l’avenir, les résultats des Comores ne pourront s’améliorer que si des progrès sont accomplis dans les autres dimensions du GGEI. Diverses occasions sont à saisir dans la dimension Secteurs de l’efficacité énergétique. Dans le bâtiment, des programmes visant à établir de meilleures pratiques en matière de construction durable devraient être mis en œuvre (l’indicateur GGEI est fondé sur la certification LEED, mais il existe des programmes mondiaux similaires, dont certains peuvent être mieux adaptés à l’économie comorienne). Compte tenu du manque d’informations sur les émissions imputables au secteur des transports, la collecte de données dans ce domaine devrait être une priorité. Il en va de même pour l’efficacité de l’utilisation des ressources et le recyclage des déchets. Si les autorités disposent d’une couverture élargie des données, elles seront plus à même d’évaluer les progrès en cours et de prendre les mesures appropriées dans l’avenir.
Des progrès supplémentaires peuvent être réalisés dans la dimension Marchés et investissements. Le niveau de nouvelle puissance installée du renouvelable est resté très bas au cours des cinq dernières années. Des efforts devraient donc être engagés pour favoriser les conditions d’investissement dans le domaine. Outre le bâtiment et les transports, la responsabilité des entreprises à l’égard du développement durable pourrait être un facteur d’amélioration majeur. Pour le moment, le GGEI ne permet pas d’établir que les entreprises du pays cherchent à réduire les émissions imputables à leurs activités, alors qu’elles devraient y accorder une priorité accrue. Pour améliorer leurs résultats dans le cadre du GGEI, les Comores devraient recenser les entreprises ou secteurs qui ont la plus grande empreinte écologique et mettre en place des dispositifs qui les incitent à se fixer des objectifs en matière de réduction des émissions.
Des progrès supplémentaires peuvent être réalisés dans la dimension Marchés et investissements. Le niveau de nouvelle puissance installée du renouvelable est resté très bas au cours des cinq dernières années. Des efforts devraient donc être engagés pour favoriser les conditions d’investissement dans le domaine. Outre le bâtiment et les transports, la responsabilité des entreprises à l’égard du développement durable pourrait être un facteur d’amélioration majeur. Pour le moment, le GGEI ne permet pas d’établir que les entreprises du pays cherchent à réduire les émissions imputables à leurs activités, alors qu’elles devraient y accorder une priorité accrue. Pour améliorer leurs résultats dans le cadre du GGEI, les Comores devraient recenser les entreprises ou secteurs qui ont la plus grande empreinte écologique et mettre en place des dispositifs qui les incitent à se fixer des objectifs en matière de réduction des émissions.