Autres dimensions du GGEI
Les résultats de la dimension Secteurs de l’efficacité énergétique sont mitigés. Lors de l’établissement du GGEI, certains signes ont indiqué que des pratiques écologiquement viables commençaient à être instaurées dans le secteur de la construction. De même, certains efforts menés par les autorités dans le domaine du tourisme semblent donner la priorité à la durabilité. La République démocratique du Congo affiche des résultats parmi les meilleurs de la Francophonie dans le secteur des transports (largement responsable des émissions) en arrivant à la neuvième place de ce classement. Aucune donnée n’a pu être collectée sur le recyclage des déchets, ce qui donne à penser que le domaine de l’efficacité de l’utilisation des ressources est peu développé. La collecte de données sur ces domaines est essentielle au suivi et à l’amélioration des résultats au fil du temps.
D’autres progrès peuvent être accomplis pour avancer dans la dimension Marchés et investissements. Dans leurs efforts visant à promouvoir les investissements, les autorités accordent une certaine priorité à la dimension écologique, et le pays arrive à la dixième place de ce classement parmi les pays francophones. Ces efforts semblent se concrétiser puisque les conditions paraissent de plus en plus favorables aux investissements dans les énergies renouvelables. La responsabilité des entreprises à l’égard du développement durable peut également être source de progrès: pour améliorer ses résultats dans le cadre du GGEI, le pays devrait recenser les entreprises ou secteurs qui ont la plus grande empreinte écologique et mettre en place des dispositifs qui les incitent à se fixer des objectifs en matière de réduction des émissions.
D’autres progrès peuvent être accomplis pour avancer dans la dimension Marchés et investissements. Dans leurs efforts visant à promouvoir les investissements, les autorités accordent une certaine priorité à la dimension écologique, et le pays arrive à la dixième place de ce classement parmi les pays francophones. Ces efforts semblent se concrétiser puisque les conditions paraissent de plus en plus favorables aux investissements dans les énergies renouvelables. La responsabilité des entreprises à l’égard du développement durable peut également être source de progrès: pour améliorer ses résultats dans le cadre du GGEI, le pays devrait recenser les entreprises ou secteurs qui ont la plus grande empreinte écologique et mettre en place des dispositifs qui les incitent à se fixer des objectifs en matière de réduction des émissions.