Autres dimensions du GGEI
Des progrès urgents sont à réaliser dans certains domaines relevant de la dimension Secteurs de l’efficacité énergétique. Lors de l’établissement du GGEI, peu de signes ont permis d’indiquer que le pays avait entrepris d’instaurer des pratiques de construction durable dans le secteur du bâtiment. Il n’a pas été possible de collecter de données sur le recyclage des déchets ni sur les émissions imputables au secteur des transports. La collecte de données sur ces domaines est essentielle au suivi et à l’amélioration des résultats au fil du temps. Il est particulièrement important d’assurer un suivi des données sur le secteur des transports, qui est aussi largement responsable des émissions, car l’expansion de ce domaine pourrait faire baisser les résultats du pays en matière de changement climatique. Par ailleurs, les efforts menés par les autorités équato-guinéennes dans le secteur du tourisme semblent peu donner la priorité à la durabilité de ce secteur.
Plusieurs domaines de la dimension Marchés et investissements peuvent également être améliorés. D’après les travaux d’établissement du GGEI, il ne semble pas que les autorités aient commencé à promouvoir en priorité les investissements verts, ce qu’elles pourraient faire en informant davantage les donateurs et investisseurs étrangers sur cette question. De tels efforts sont importants, car ils permettent de faire connaître les possibilités d’investissement en Guinée équatoriale sur les marchés mondiaux. Ils peuvent également contribuer à améliorer les conditions pour les investissements dans les énergies renouvelables, le pays occupant actuellement la 63e place du classement de la Francophonie quant à cet indicateur. La responsabilité des entreprises à l’égard du développement durable peut également être source de progrès: pour améliorer ses résultats dans le cadre du GGEI, la Guinée équatoriale devrait recenser les entreprises ou secteurs qui ont la plus grande empreinte écologique et mettre en place des dispositifs qui les incitent à se fixer des objectifs en matière de réduction des émissions.
Plusieurs domaines de la dimension Marchés et investissements peuvent également être améliorés. D’après les travaux d’établissement du GGEI, il ne semble pas que les autorités aient commencé à promouvoir en priorité les investissements verts, ce qu’elles pourraient faire en informant davantage les donateurs et investisseurs étrangers sur cette question. De tels efforts sont importants, car ils permettent de faire connaître les possibilités d’investissement en Guinée équatoriale sur les marchés mondiaux. Ils peuvent également contribuer à améliorer les conditions pour les investissements dans les énergies renouvelables, le pays occupant actuellement la 63e place du classement de la Francophonie quant à cet indicateur. La responsabilité des entreprises à l’égard du développement durable peut également être source de progrès: pour améliorer ses résultats dans le cadre du GGEI, la Guinée équatoriale devrait recenser les entreprises ou secteurs qui ont la plus grande empreinte écologique et mettre en place des dispositifs qui les incitent à se fixer des objectifs en matière de réduction des émissions.