Extrapoler les résultats de la France
L’analyse des autres secteurs du GGEI qui ont fait l’objet d’une estimation fondée sur les résultats de la France fait émerger d’autres possibilités. Monaco occupe la 31e position de la Francophonie dans le domaine du changement climatique et, même s’il s’agit d’un des résultats les plus élevés d’Europe, il faudrait tout de même accorder une priorité accrue à la décarbonisation du secteur et réduire davantage l’intensité des émissions de l’économie. Les engagements récents pris à l’occasion de la Conférence de Paris sur les changements climatiques de réduire les émissions de 50% d’ici à 2030 vont dans la bonne direction.
Les efforts actuellement déployés pour transformer les déchets en énergie réutilisée par la ville, et pour traiter et recycler les eaux usées, sont d’autres signes de l’engagement de Monaco en faveur de la croissance verte. Les domaines environnementaux Pêche et aquaculture et Forêts, qui affichent les résultats les plus faibles en France, ont été utilisés pour estimer les résultats de Monaco. L’échange des connaissances entre les deux pays et le renforcement des capacités sur ces sujets devraient être approfondis. Enfin, la population peu nombreuse et aisée qui vit à Monaco est un public privilégié pour la sensibilisation à l’écologie, en particulier parce que celle-ci a trait aux investissements à impact positif et à la responsabilité des entreprises à l’égard du développement durable. Les responsables politiques devraient continuer à communiquer sur la façon dont le secteur privé peut s’engager dans la croissance économique verte.
Les efforts actuellement déployés pour transformer les déchets en énergie réutilisée par la ville, et pour traiter et recycler les eaux usées, sont d’autres signes de l’engagement de Monaco en faveur de la croissance verte. Les domaines environnementaux Pêche et aquaculture et Forêts, qui affichent les résultats les plus faibles en France, ont été utilisés pour estimer les résultats de Monaco. L’échange des connaissances entre les deux pays et le renforcement des capacités sur ces sujets devraient être approfondis. Enfin, la population peu nombreuse et aisée qui vit à Monaco est un public privilégié pour la sensibilisation à l’écologie, en particulier parce que celle-ci a trait aux investissements à impact positif et à la responsabilité des entreprises à l’égard du développement durable. Les responsables politiques devraient continuer à communiquer sur la façon dont le secteur privé peut s’engager dans la croissance économique verte.