Autres dimensions du GGEI
Sainte-Lucie se situe à la 53e place du classement de la Francophonie dans le domaine du changement climatique. Des efforts supplémentaires devraient être engagés en vue de réduire l’intensité carbone de l’économie telle que mesurée par les indicateurs des émissions par habitant et des émissions par unité de PIB. La résilience aux changements climatiques est un domaine prioritaire dans le pays, et de nombreuses occasions permettent de conjuguer les efforts en la matière. Dans la dimension Secteurs de l’efficacité énergétique, le pays commence à instaurer des certifications LEED dans le secteur du bâtiment et de la construction. En ce qui concerne la construction d’infrastructures dans les prochaines années, la définition de la résilience comme priorité et l’établissement de normes relatives à l’efficacité énergétique permettront d’améliorer les résultats du pays.
S’agissant du tourisme, Sainte-Lucie ne prend pas autant d’initiatives qu’elle le devrait pour promouvoir la durabilité de ce secteur. Ces efforts pourraient être multipliés afin de mettre en évidence des façons durables de visiter le pays sur les sites touristiques et les médias sociaux. Un programme de certification en matière de tourisme durable pourrait également être instauré en vue de renforcer la confiance des touristes quant à la mise en œuvre de pratiques écologiquement viables optimales par les hôtels et les voyagistes. Les travaux d’établissement du GGEI pour Sainte-Lucie n’ont pas permis de collecter de données sur les émissions imputables au secteur des transports ni sur le recyclage des déchets, de plus grands efforts devraient donc également être réalisés en ce sens.
Dans la dimension Marchés et investissements, il semble que les conditions relatives aux investissements dans les énergies renouvelables ne se soient que peu améliorées au cours des cinq dernières années. De fait, l’établissement du GGEI n’a pas permis de recueillir d’informations sur la part du renouvelable dans la production d’électricité du pays. Une plus grande part du renouvelable dans le réseau d’électricité permettrait d’améliorer la sécurité énergétique du pays et de limiter les fluctuations de prix. Les grandes entreprises saint-luciennes peuvent également développer leur responsabilité à l’égard du développement durable, l’établissement du GGEI n’ayant pas permis de montrer que de tels programmes existaient déjà. Ce type d’efforts, à commencer par le suivi que les grandes entreprises peuvent effectuer sur les émissions liées à leurs activités, contribue à généraliser la croissance verte dans le secteur privé.
S’agissant du tourisme, Sainte-Lucie ne prend pas autant d’initiatives qu’elle le devrait pour promouvoir la durabilité de ce secteur. Ces efforts pourraient être multipliés afin de mettre en évidence des façons durables de visiter le pays sur les sites touristiques et les médias sociaux. Un programme de certification en matière de tourisme durable pourrait également être instauré en vue de renforcer la confiance des touristes quant à la mise en œuvre de pratiques écologiquement viables optimales par les hôtels et les voyagistes. Les travaux d’établissement du GGEI pour Sainte-Lucie n’ont pas permis de collecter de données sur les émissions imputables au secteur des transports ni sur le recyclage des déchets, de plus grands efforts devraient donc également être réalisés en ce sens.
Dans la dimension Marchés et investissements, il semble que les conditions relatives aux investissements dans les énergies renouvelables ne se soient que peu améliorées au cours des cinq dernières années. De fait, l’établissement du GGEI n’a pas permis de recueillir d’informations sur la part du renouvelable dans la production d’électricité du pays. Une plus grande part du renouvelable dans le réseau d’électricité permettrait d’améliorer la sécurité énergétique du pays et de limiter les fluctuations de prix. Les grandes entreprises saint-luciennes peuvent également développer leur responsabilité à l’égard du développement durable, l’établissement du GGEI n’ayant pas permis de montrer que de tels programmes existaient déjà. Ce type d’efforts, à commencer par le suivi que les grandes entreprises peuvent effectuer sur les émissions liées à leurs activités, contribue à généraliser la croissance verte dans le secteur privé.

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