Définition des prochains objectifs de progrès
Les résultats les plus faibles de l’Uruguay concernent toujours la dimension Marchés et investissements du GGEI, mais des approches concrètes peuvent être adoptées afin de progresser. Alors qu’il est essentiel d’instaurer des conditions favorables aux investissements dans les énergies renouvelables, l’établissement du GGEI n’a pas décelé de signes d’innovations en matière de produits et services durables ni d’initiatives concernant la responsabilité des entreprises à l’égard du développement durable. De plus, les efforts des autorités visant à promouvoir les investissements verts ne semblent pas accorder la priorité aux énergies renouvelables. Ces trois domaines sont interdépendants: l’adoption par les entreprises uruguayennes de critères de responsabilité à l’égard du développement durable dans leurs activités et leurs chaînes d’approvisionnement aurait certainement des conséquences positives sur l’ampleur des innovations vertes et intensifierait les efforts de promotion et le volume d’informations à communiquer aux investisseurs mondiaux. De plus, ces activités contribuent généralement à renforcer le profil du pays dans l’enquête de perception du GGEI sur le long terme.
D’autres occasions peuvent être saisies en vue de progresser. Bien que le taux de certification des bâtiments écologiquement viables ait augmenté, le pays n’occupe que la 27e place dans ce classement parmi les pays de la Francophonie. Le nombre de certifications LEED doit augmenter plus rapidement et les acteurs du secteur de la construction devraient être mieux informés des bienfaits de ces méthodes. D’après l’établissement du GGEI, aucun effort concret n’a été engagé pour promouvoir le tourisme durable, et le taux de recyclage des déchets devrait être plus élevé. Les résultats de l’Uruguay sont parmi les plus faibles de la Francophonie dans les domaines Biodiversité et habitat et Forêts de la dimension Environnement. Ces deux indicateurs témoignaient déjà des principales difficultés que l’Uruguay devait surmonter dans les éditions précédentes du GGEI, et le pays doit s’y atteler.
D’autres occasions peuvent être saisies en vue de progresser. Bien que le taux de certification des bâtiments écologiquement viables ait augmenté, le pays n’occupe que la 27e place dans ce classement parmi les pays de la Francophonie. Le nombre de certifications LEED doit augmenter plus rapidement et les acteurs du secteur de la construction devraient être mieux informés des bienfaits de ces méthodes. D’après l’établissement du GGEI, aucun effort concret n’a été engagé pour promouvoir le tourisme durable, et le taux de recyclage des déchets devrait être plus élevé. Les résultats de l’Uruguay sont parmi les plus faibles de la Francophonie dans les domaines Biodiversité et habitat et Forêts de la dimension Environnement. Ces deux indicateurs témoignaient déjà des principales difficultés que l’Uruguay devait surmonter dans les éditions précédentes du GGEI, et le pays doit s’y atteler.