Autres dimensions du GGEI
Les résultats du Maroc dans la dimension Secteurs de l’efficacité énergétique dressent un tableau mitigé de la situation. S’agissant du secteur de la construction et du degré d’intégration de pratiques durables et efficaces sur le plan énergétique, l’établissement du GGEI a permis de montrer que des avancées avaient été réalisées par le pays, qui se situe à la 43e place du classement correspondant. Certains signes montrent également que la communication et les plateformes des autorités consacrées à la promotion du tourisme commencent à attirer l’attention des visiteurs potentiels sur la dimension durable de ce secteur. Le niveau de recyclage des déchets s’améliore et le Maroc est à la 27e place dans le domaine Transports, qui pèse largement dans ses résultats globaux en matière de changement climatique. En revanche, le pays affiche l’une des plus faibles parts du renouvelable dans la production d’électricité parmi les pays de la Francophonie et n’arrive qu’à la 52e place.
Des conclusions analogues se dégagent de la dimension Marchés et investissements. D’après les travaux d’établissement du GGEI, les autorités ont mené d’importants efforts pour promouvoir les investissements verts, et le Maroc arrive à la huitième place parmi les pays francophones dans ce domaine. Ces efforts doivent toutefois donner lieu à une rapide augmentation des nouvelles installations d’énergie renouvelable, car le pays n’est qu’à la 31e place du classement sur les conditions relatives à ce type d’investissements. La responsabilité des entreprises à l’égard du développement durable peut également être source de progrès: pour améliorer ses résultats dans le cadre du GGEI, le pays devrait recenser les entreprises ou secteurs qui ont la plus grande empreinte écologique et mettre en place des dispositifs qui les incitent à se fixer des objectifs en matière de réduction des émissions.
Des conclusions analogues se dégagent de la dimension Marchés et investissements. D’après les travaux d’établissement du GGEI, les autorités ont mené d’importants efforts pour promouvoir les investissements verts, et le Maroc arrive à la huitième place parmi les pays francophones dans ce domaine. Ces efforts doivent toutefois donner lieu à une rapide augmentation des nouvelles installations d’énergie renouvelable, car le pays n’est qu’à la 31e place du classement sur les conditions relatives à ce type d’investissements. La responsabilité des entreprises à l’égard du développement durable peut également être source de progrès: pour améliorer ses résultats dans le cadre du GGEI, le pays devrait recenser les entreprises ou secteurs qui ont la plus grande empreinte écologique et mettre en place des dispositifs qui les incitent à se fixer des objectifs en matière de réduction des émissions.