Méthodes et outils mobilisés pour réaliser l'évaluation
Au Mali, les bureaux d’études utilisent plusieurs méthodes et outils pour réaliser leurs évaluations.
Ainsi, pour la définition des variantes étudiées, malgré certaines différences entre les bureaux d’études, les évaluateurs se basent très généralement sur la méthode d’Hydro-Québec (importance de l’impact anticipé), la grille de Fecteau et d’autres méthodes hybrides.
La définition du périmètre de l’étude se concrétise par des visites de terrain et, le plus souvent, à l’aide du géopositionnement par satellite (GPS).
L’identification des enjeux et le recueil des préoccupations des populations sont quant à eux réalisés par des consultations publiques et par la concertation des parties prenantes.
La revue documentaire et les investigations sur le terrain sont pour leur part utilisées pour effectuer les analyses de l’état initial.
L’identification et l’analyse des impacts se font au moyen des méthodes précitées, sur la base de critères bien précis.
Quant à l’élaboration du PGE, elle se réalise conformément au décret relatif à l’EIES et, généralement, à l’image des formats de la Banque mondiale.
Ainsi, pour la définition des variantes étudiées, malgré certaines différences entre les bureaux d’études, les évaluateurs se basent très généralement sur la méthode d’Hydro-Québec (importance de l’impact anticipé), la grille de Fecteau et d’autres méthodes hybrides.
La définition du périmètre de l’étude se concrétise par des visites de terrain et, le plus souvent, à l’aide du géopositionnement par satellite (GPS).
L’identification des enjeux et le recueil des préoccupations des populations sont quant à eux réalisés par des consultations publiques et par la concertation des parties prenantes.
La revue documentaire et les investigations sur le terrain sont pour leur part utilisées pour effectuer les analyses de l’état initial.
L’identification et l’analyse des impacts se font au moyen des méthodes précitées, sur la base de critères bien précis.
Quant à l’élaboration du PGE, elle se réalise conformément au décret relatif à l’EIES et, généralement, à l’image des formats de la Banque mondiale.

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