EE et développement durable
On constate qu’à Djibouti, les évaluations environnementales et sociales n’intègrent pas systématiquement une section traitant du développement durable. Le développement durable est en effet considéré comme une dimension transversale.
Les acteurs djiboutiens ne perçoivent pas les EE comme des exercices de plus en plus intégrés et multidimensionnels et ne sont pas d’accord avec l’idée que les EE tendent à devenir des évaluations de la durabilité.
Comme dans bon nombre de pays, il existe à Djibouti une structure interministérielle formelle en matière de mise en œuvre du développement durable : la commission mise en place par Décret no 2004-0092/PR/MHUEAT portant création de la Commission nationale pour le développement durable.
Pour ce qui est des outils de gestion environnementale, il est à noter que les entreprises avec lesquelles le ministère de l’Environnement interagit dans le contexte de l’évaluation environnementale n’utilisent jamais d’autres outils de même nature en dehors des études d’impact (par exemple, des systèmes de gestion environnementale et sociale).
Les acteurs djiboutiens ne perçoivent pas les EE comme des exercices de plus en plus intégrés et multidimensionnels et ne sont pas d’accord avec l’idée que les EE tendent à devenir des évaluations de la durabilité.
Comme dans bon nombre de pays, il existe à Djibouti une structure interministérielle formelle en matière de mise en œuvre du développement durable : la commission mise en place par Décret no 2004-0092/PR/MHUEAT portant création de la Commission nationale pour le développement durable.
Pour ce qui est des outils de gestion environnementale, il est à noter que les entreprises avec lesquelles le ministère de l’Environnement interagit dans le contexte de l’évaluation environnementale n’utilisent jamais d’autres outils de même nature en dehors des études d’impact (par exemple, des systèmes de gestion environnementale et sociale).

TABLE DES MATIÈRES