Pratique de l'EE de 2012 à 2016
Le Togo a réalisé au total 423 études d’EE au cours de la période 2012-2016.

Une répartition de cet ensemble selon le type d’étude révèle que les EIE approfondies représentent la majorité des études réalisées pour la période de 2012 à 2016 (240 études ou 56%). Elles sont suivies des EIE simplifiées avec 112 réalisations (26%). Les audits environnementaux, quant à eux, ont été au nombre de 68 (16%) et les EES, au nombre de trois seulement, représentent moins de 1% de l’ensemble des études réalisées pendant la période considérée. Aucune étude des autres types (EER, EIS, EIC et ACV) n’a cependant été effectuée.
Une répartition de ces études par année montre que l’année 2014 est celle qui a connu le plus grand nombre d’études commanditées et réalisées (149).
De l’analyse des données ci-dessus, il ressort que trois types d’EE sont de pratique courante au Togo : les EIE approfondies, les EIE simplifiées et les audits environnementaux. Des actions allant dans le sens du renforcement des capacités humaines, techniques et réglementaires pourront viser ces trois types d’études, mais aussi les EES, bien qu’elles représentent moins de 1 % des études réalisées durant les cinq années considérées.

Les données du tableau 2 donnent une indication sur les EIES complètes réalisées de 2012 à 2016 selon qu’elles concernent des projets publics nationaux sans financement international, des projets publics nationaux avec financement international, des projets privés d’investisseurs nationaux ou des projets privés d’investisseurs internationaux.
Ainsi, sur un total de 423 EIES complètes effectuées de 2012 à 2016, 160 (38%) provenaient de projets privés d’investisseurs internationaux et 136 (32,15%) de projets privés d’investisseurs nationaux. Les projets privés d’investisseurs nationaux ou internationaux représentent la majorité des EIES complètes au Togo, avec un total cumulé de 296 EIES sur 423 (70%).
Pour ce qui est des EIES complètes de projets publics nationaux sans financement international et de projets publics nationaux avec financement international, on en dénombre respectivement 52 et 75, soit des pourcentages de 12% et 18%.

La répartition sectorielle des EIES réalisées au Togo de 2012 à 2016 est le reflet de la dynamique des activités socioéconomiques prépondérantes dans ce pays au cours des cinq années concernées. Ainsi, sur un total de 388 EIES identifiées, le secteur des industries et des manufactures en a absorbé 43%. Viennent ensuite les mines et les fonderies de première fusion, un secteur qui occupe une proportion de 24%, et, en troisième position, le pétrole et le gaz, avec 14% des EIES identifiées.
Le secteur des infrastructures linéaires a fait l’objet de 32 EIES (8%), celui de la rénovation urbaine comptabilisait 23 études (6%) et celui des forêts, neuf (2%).
La proportion des EIES associées aux grands barrages et réservoirs, à la production d’électricité (thermique, éolienne, autre), aux transports et aux ports est inférieure 1%.

Une répartition de cet ensemble selon le type d’étude révèle que les EIE approfondies représentent la majorité des études réalisées pour la période de 2012 à 2016 (240 études ou 56%). Elles sont suivies des EIE simplifiées avec 112 réalisations (26%). Les audits environnementaux, quant à eux, ont été au nombre de 68 (16%) et les EES, au nombre de trois seulement, représentent moins de 1% de l’ensemble des études réalisées pendant la période considérée. Aucune étude des autres types (EER, EIS, EIC et ACV) n’a cependant été effectuée.
Une répartition de ces études par année montre que l’année 2014 est celle qui a connu le plus grand nombre d’études commanditées et réalisées (149).
De l’analyse des données ci-dessus, il ressort que trois types d’EE sont de pratique courante au Togo : les EIE approfondies, les EIE simplifiées et les audits environnementaux. Des actions allant dans le sens du renforcement des capacités humaines, techniques et réglementaires pourront viser ces trois types d’études, mais aussi les EES, bien qu’elles représentent moins de 1 % des études réalisées durant les cinq années considérées.

Les données du tableau 2 donnent une indication sur les EIES complètes réalisées de 2012 à 2016 selon qu’elles concernent des projets publics nationaux sans financement international, des projets publics nationaux avec financement international, des projets privés d’investisseurs nationaux ou des projets privés d’investisseurs internationaux.
Ainsi, sur un total de 423 EIES complètes effectuées de 2012 à 2016, 160 (38%) provenaient de projets privés d’investisseurs internationaux et 136 (32,15%) de projets privés d’investisseurs nationaux. Les projets privés d’investisseurs nationaux ou internationaux représentent la majorité des EIES complètes au Togo, avec un total cumulé de 296 EIES sur 423 (70%).
Pour ce qui est des EIES complètes de projets publics nationaux sans financement international et de projets publics nationaux avec financement international, on en dénombre respectivement 52 et 75, soit des pourcentages de 12% et 18%.

La répartition sectorielle des EIES réalisées au Togo de 2012 à 2016 est le reflet de la dynamique des activités socioéconomiques prépondérantes dans ce pays au cours des cinq années concernées. Ainsi, sur un total de 388 EIES identifiées, le secteur des industries et des manufactures en a absorbé 43%. Viennent ensuite les mines et les fonderies de première fusion, un secteur qui occupe une proportion de 24%, et, en troisième position, le pétrole et le gaz, avec 14% des EIES identifiées.
Le secteur des infrastructures linéaires a fait l’objet de 32 EIES (8%), celui de la rénovation urbaine comptabilisait 23 études (6%) et celui des forêts, neuf (2%).
La proportion des EIES associées aux grands barrages et réservoirs, à la production d’électricité (thermique, éolienne, autre), aux transports et aux ports est inférieure 1%.

TABLE DES MATIÈRES