Pratique de l'EE de 2012 à 2016
Au cours de la période 2012-2016, l’Union des Comores a réalisé au total 69 EE, essentiellement composées d’EIE simplifiées et d’EIE approfondies.

Une répartition de cet ensemble selon le type d’étude révèle que les EIE simplifiées représentent la majorité des études réalisées pour la période de 2012 à 2016 (60 études ou 87%). Elles sont suivies des EIE approfondies, avec seulement neuf réalisations (13%).
Aucune étude des autres types (EES, EER, EIS, EIC, audits environnementaux et ACV) n’a cependant été effectuée.
Une répartition de ces études par année montre que l’année 2016 est celle qui a connu le plus grand nombre d’études commanditées et réalisées (18).
De l’analyse des données ci-dessus, il ressort que deux types d’EE sont de pratique courante à l’Union des Comores. Il s’agit des EIE simplifiées et des EIE approfondies. Des actions allant dans le sens du renforcement des capacités humaines, techniques et réglementaires pourront viser ces deux types d’études.

Les données du tableau 2 donnent une indication sur les EIES approfondies réalisées de 2012 à 2016, selon qu’elles concernent des projets publics nationaux sans financement international, des projets publics nationaux avec financement international, des projets privés d’investisseurs nationaux ou des projets privés d’investisseurs internationaux.
Ainsi, l’ensemble des neuf EIES approfondies réalisées de 2012 à 2016 provenaient de projets publics nationaux avec financement international. Donc pour cette période, l’Union des Comores n’enregistre aucune EIES complète provenant d’un projet public national sans financement international, d’un projet privé d’investisseurs nationaux ou d’un projet privé d’investisseurs internationaux.

La répartition sectorielle des EIES réalisées au sein de l’Union des Comores de 2012 à 2016 est le reflet de la dynamique des activités socioéconomiques prépondérantes et des pratiques en la matière dans ce pays au cours des cinq années concernées. Ainsi, sur un total de seulement quatre EIES identifiées, le secteur des transports en a absorbé deux, soit 50%. Ce secteur est suivi de ceux des industries et manufactures et de la production d’électricité (thermique, éolienne, autre), qui occupent chacun une proportion de 25%.
Les proportions en EIES des secteurs liés aux grands barrages et réservoirs, aux mines et fonderies de première fusion, aux forêts, au pétrole et au gaz, aux infrastructures linéaires, aux ports et aux rénovations urbaines sont nulles.
Au cours de cette période, il n’y a pas eu d’EES concernant des politiques et plans.

Une répartition de cet ensemble selon le type d’étude révèle que les EIE simplifiées représentent la majorité des études réalisées pour la période de 2012 à 2016 (60 études ou 87%). Elles sont suivies des EIE approfondies, avec seulement neuf réalisations (13%).
Aucune étude des autres types (EES, EER, EIS, EIC, audits environnementaux et ACV) n’a cependant été effectuée.
Une répartition de ces études par année montre que l’année 2016 est celle qui a connu le plus grand nombre d’études commanditées et réalisées (18).
De l’analyse des données ci-dessus, il ressort que deux types d’EE sont de pratique courante à l’Union des Comores. Il s’agit des EIE simplifiées et des EIE approfondies. Des actions allant dans le sens du renforcement des capacités humaines, techniques et réglementaires pourront viser ces deux types d’études.

Les données du tableau 2 donnent une indication sur les EIES approfondies réalisées de 2012 à 2016, selon qu’elles concernent des projets publics nationaux sans financement international, des projets publics nationaux avec financement international, des projets privés d’investisseurs nationaux ou des projets privés d’investisseurs internationaux.
Ainsi, l’ensemble des neuf EIES approfondies réalisées de 2012 à 2016 provenaient de projets publics nationaux avec financement international. Donc pour cette période, l’Union des Comores n’enregistre aucune EIES complète provenant d’un projet public national sans financement international, d’un projet privé d’investisseurs nationaux ou d’un projet privé d’investisseurs internationaux.

La répartition sectorielle des EIES réalisées au sein de l’Union des Comores de 2012 à 2016 est le reflet de la dynamique des activités socioéconomiques prépondérantes et des pratiques en la matière dans ce pays au cours des cinq années concernées. Ainsi, sur un total de seulement quatre EIES identifiées, le secteur des transports en a absorbé deux, soit 50%. Ce secteur est suivi de ceux des industries et manufactures et de la production d’électricité (thermique, éolienne, autre), qui occupent chacun une proportion de 25%.
Les proportions en EIES des secteurs liés aux grands barrages et réservoirs, aux mines et fonderies de première fusion, aux forêts, au pétrole et au gaz, aux infrastructures linéaires, aux ports et aux rénovations urbaines sont nulles.
Au cours de cette période, il n’y a pas eu d’EES concernant des politiques et plans.

TABLE DES MATIÈRES