EE et développement durable
Aux Comores, toutes les évaluations environnementales et sociales n’intègrent pas systématiquement une section traitant du développement durable, lequel est considéré comme une dimension transversale.
Néanmoins, les EE sont perçues par les acteurs comoriens comme des exercices de plus en plus intégrés et multidimensionnels. Elles tendent ainsi à devenir des évaluations de la durabilité, une idée sur laquelle les agents du ministère de l’Environnement des Comores sont à tout à fait d’accord.
Comme dans bon nombre de pays, il existe aux Comores une structure interministérielle formelle en matière de mise en œuvre du développement durable: la Commission nationale du développement durable.
Pour ce qui est des outils de gestion environnementale, il est à noter que les entreprises avec lesquelles le Ministère et, plus précisément, la Commission nationale du développement durable interagissent dans le contexte de l’EE n’utilisent jamais d’autres outils de même nature en dehors des études d’impact (par exemple, des systèmes de gestion environnementale et sociale).
Au cours des cinq années à l’étude, les Comores n’ont pas enregistré de cas où un grand projet soumis à une EIE ou à une EIES (par exemple dans les secteurs des grands barrages ou des transports) ait donné, en plus, à une étude sur la contribution au développement durable.
Néanmoins, les EE sont perçues par les acteurs comoriens comme des exercices de plus en plus intégrés et multidimensionnels. Elles tendent ainsi à devenir des évaluations de la durabilité, une idée sur laquelle les agents du ministère de l’Environnement des Comores sont à tout à fait d’accord.
Comme dans bon nombre de pays, il existe aux Comores une structure interministérielle formelle en matière de mise en œuvre du développement durable: la Commission nationale du développement durable.
Pour ce qui est des outils de gestion environnementale, il est à noter que les entreprises avec lesquelles le Ministère et, plus précisément, la Commission nationale du développement durable interagissent dans le contexte de l’EE n’utilisent jamais d’autres outils de même nature en dehors des études d’impact (par exemple, des systèmes de gestion environnementale et sociale).
Au cours des cinq années à l’étude, les Comores n’ont pas enregistré de cas où un grand projet soumis à une EIE ou à une EIES (par exemple dans les secteurs des grands barrages ou des transports) ait donné, en plus, à une étude sur la contribution au développement durable.

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